Mésaventures et péripeties dijonnaises.

lundi, novembre 26, 2007

Road-trip direction Bruxelles (avec l'accent bien sûr) !

Un concours de circonstances nous avait rassemblé chez Max un jeudi après midi, nous étions quatre garçons formidables oisifs et démotivés (Deb, Geox, SeugSeug et moi).

Quand tout à coup, une idée émana de mon cerveau plus que dérangé : "Si nous allions à Bruxelles !"
Bien sûr, cette idée fût tout de suite adoptée par mon cher parrain qui, alcoolique averti, savait qu’à cette période la Fête de la Bière faisait rage en Belgique !
Nous décidâmes donc de nous mettre en route pour Bruxelles !
Par chance, de mon voyage à Lacanau, j'ai ramené quelques numéros de belges bien sympathiques !

La première étape de notre voyage fût la charmante petite ville d'Ottignie dans laquelle nous attendaient Gaïa et Marie, deux belges prêtes à tout pour finir complètement bourrées !

Prêtes à tout en effet, même à accueillir quatre garçons frenchies dans leur « skwat » qui n’était autre que le sous-sol de cette chère Orban :

Les mouvementés... (Gaïa et Deb)



Marie (Orban notre Hôte)


Après une soirée bien arrosée pour la plupart et bien mouvementée pour d’autres… (il n’est plus nécessaire d’expliquer, je pense), nous partîmes de bon matin à la conquête de la belle Bruxelles, ville de la frite et de la bière bien sûr !

Deux gourmands pris les deux mains dans la chantilly !!


Mannequin piss ridicule, comme celle de Deb haha...


Là, au hasard des ruelles, comble de la surprise, nous voici nez-à-nez avec le beau Grégoire et sa compagne Elise en pleine visite de la ville ! Mais ce n’est pas ce qu’il y a de plus impressionnant, vous savez quoi ?
Ils n’étaient pas venus pour la Fête de la Bière !!

Mais comme on dit, « chacun ses goûts » ou « tous les goûts sont dans la nature » ou tout simplement « les goûts et les couleurs ! », refermons la parenthèse !

Toujours sur le plan social, cette petite excursion chez nos amis les belges nous permis de faire la connaissance d’un geek de la nation dont le nom m’échappe encore. Mais qui dit geek dit Debrand donc si son nom a de l’importance pour vous je vous propose de vous adresser directement à ce cher Deb qui cela dit en passant n’a pas Internet en ce moment, ce qui me laisse le loisir de le pourrir ouvertement sur son propre blog, sans que les conséquences de mes actes soit immédiates ! Ha « t’es con Deb ! Lawl. » Mais laissons-là ce drôle qui aura son rôle à jouer dans cette belle histoire un peut plus tard (le geek, non l’autre !).

Alors que cette belle journée était sur le point de s’achever, nous nous retrouvâmes tous sur la Grand Place où tout devait se jouer ici même a Bruxelles !
Mais, confortablement installés dans «Unsere gemütliches kaffee » sur la Grand Place à nous enfiler des peintes :


Moi Aug de G. dans Unsere gemütliches kaffee.



Qui a dit trop gros pour toi Deb ?

La motivation suffisante pour aller faire la queue afin d’obtenir un ticket pour entrer dans le petit enclos saturé de gros belges pour aller choisir l’une des nombreuses bières présentes sur la cartes GARGANTUESQUE de cette fête de la boisson du même nom ne nous envahit jamais.

GARGANTUESQUE !!

Mais loin de moi l’idée de nous juger ou de nous blâmer, car cette démotivation a participé à la plus grande fête de la bière sous son aspect touristique, voire, si je m’autorisais, « Beauf », excusez-moi du peu, fût certainement le meilleur de tous les choix.

Une masse informe de gros belges parqués ...


Nous observions donc, en seigneur, une masse informe de gros belges parqués au milieu d’une magnifique place illuminée de milles feux en buvant de bonnes bières à la terrasse de « Unsere gemütliches kaffee » :



Que les puristes ne s'inquiètes pas, ce n'est pas la version finale, j'ai oublié un tas de truc (Putes, Fête de dingo, Parking, Miss Belgique... etc!

Petit avant-goût.

Mais là il est tard, je me couche, à bientôt, et par ce post, je déclare ce blog ressuscité !

dimanche, novembre 25, 2007

Sans commentaires...


samedi, novembre 24, 2007

s'en prendre à un bébé ! enculés !

Le bon sens en action, faites suivre.

Des chiffres valent souvent plus qu'un long discours, alors pour apporter un peu de soutient aux victimes des grèves et parce que beaucoup de choses sont en jeu, je pense que les contestataires n'ont pas forcèment raisons. Voilà de quoi réfléchir au problème.

NOTE ET TEXTE DE Gérard Mermet
sociologue (auteur de Francoscopie)

Sous divers prétextes, les bénéficiaires des régimes spéciaux défendent le maintien de ce que l'on doit appeler, en toute objectivité, des privilèges. A tous ceux qui s'efforcent de regarder la société sans prisme idéologique ou politique, mais en se réclamant du bon sens, de l'équité, de la solidarité, de la responsabilité, leur attitude paraît irresponsable, voire indécente. Rappels :

. Les bénéficiaires des 128 régimes concernés partent à la retraite bien avant ceux du régime général. Exemples : 50 ans pour les agents de conduite SNCF ou RATP; 53 ans pour les sénateurs, 55 pour les députés qui auraient dû montrer l'exemple...;
. La durée moyenne de leur retraite est pour beaucoup supérieure à celle de leur vie active et ils percevront ainsi plus de pensions qu'ils n'ont reçu de salaires !
. Le montant de leur retraite est calculé sur les 6 derniers mois de salaire (comme pour les fonctionnaires, qui bénéficient encore à ce titre d'un régime spécial), soit un écart considérable par rapport aux 25 années du régime général. Leur taux de cotisation est en outre souvent inférieur (7,8% contre 10 à 11%);
. La plupart bénéficient par ailleurs d'un autre privilège important : la garantie de l'emploi;
. Dans l'immense majorité des cas, l'existence de ces "exceptions" n'est plus justifiée par une pénibilité particulière du travail;
. Le coût de ces régimes (qui concernent 1,2 million de retraités pour seulement 560 000 actifs) représente 15 milliards d'euros pour 2007, dont la moitié payée par la collectivité.
. La France est le seul pays développé au monde où demeurent de telles inégalités;
. La réforme de ces régimes est souhaitée par 82% des Français (sondage Metro/Ifop, 11 octobre 2007), y compris par une majorité des agents de la Fonction publique;
. On estime à 300 milliards d'euros les engagements de retraite des sept principaux régimes spéciaux au cours des six prochaines décennies : une charge injuste et insupportable pour les générations futures.

Un constat semblable peut être fait pour les autres réformes jugées nécessaires par la grande majorité des experts : université; recherche; fonction publique; système de santé; droit du travail; justice; dialogue social... Réalisées dans les autres pays depuis des années, elles sont chez nous sans cesse repoussées et bloquées par des minorités fortement politisées, incapables d'appréhender la réalité du monde et la nécessité de s'y adapter (ce qui n'interdit pas de chercher à l'améliorer).

La réforme des régimes spéciaux était a priori la plus "facile" et consensuelle, d'autant qu'elle a été comme d'habitude proposée aux intéressés avec des aménagements et un étalement dans le temps. Un recul du gouvernement rendrait donc quasiment impossible la mise en œuvre des réformes plus "difficiles". Il démontrerait une fois encore que des individus et organisations se réclamant des principes d'égalité et de solidarité défendent en réalité des corporatismes, des égoïsmes, des privilèges injustifiables ou un statu quo insupportable. Comme en 1995, ils peuvent (souhaitent peut-être, pour certains) paralyser le pays et l'enfoncer un peu plus dans la crise économique et morale.

Cette attitude est irresponsable et dangereuse. De plus, la conjoncture économique actuelle ne permet pas de différer plus longtemps les réformes, sous peine d'un nouveau décrochage national, avec de graves conséquences sur le pouvoir d'achat, la cohésion sociale, la place de la France dans le monde. Rappelons enfin que les grèves occasionnent une gêne considérable pour les particuliers, coûtent très cher à la collectivité (150 millions d'euros pour celle du 18 octobre dans les transports pour la seule région Ile-de-France), affectent la compétitivité déjà réduite de la France, son attractivité et son image à l'extérieur, donc son avenir.

Face à cette situation, les citoyens inquiets et en colère ne peuvent rester silencieux. Pour leur propre dignité, pour l'avenir de leurs enfants et du pays, ils ne doivent pas laisser le monopole de l'expression à ceux qui refusent l'adaptation.C'est pourquoi je vous propose de :

. Relayer cet appel aux personnes figurant dans votre carnet d'adresse (avec ou sans mention de l'auteur, qui ne signe ce texte que par souci de transparence);
. L'envoyer aux médias pour qu'ils rendent davantage compte de votre avis;
. Le mentionner (en tout ou partie) sur les forums, blogs et sites internet que vous animez ou fréquentez;
. Imaginer et proposer des "manifestations virtuelles" (ou réelles) originales, aussi visibles et efficaces que les grèves;
. Me faire part de vos commentaires et suggestions à l'adresse ci-dessous.

Nous ne pouvons accepter que le pouvoir de nuisance de quelques-uns mette en péril notre avenir commun.

Auteur : Gérard Mermet sociologue (auteur de Francoscopie)
adresse de contact : citoyensresponsables@free.fr

mercredi, novembre 21, 2007

...

VOUS ME MANQUEZ ! ! !